Bonjour à tou⋅te⋅s

Voici notre liste candidate pour la campagne BdE :

Cosaque en russe : kazak (казак) - pluriel : kazaki (казаки), en ukrainien : kozak (козак) - pluriel : kozaky (козаки), en polonais : Kozak - pluriel : Kozacy, est le nom donné à un groupe de populations en majorité slaves d’Europe orientale adjacente au Caucase et à l’Asie et autrefois à l'Empire ottoman.

Voici la composition de notre liste :

Bureau

• Président⋅e : Thomas ''Ninja'' GUITTON (2A) – L’origine du terme « cosaque » renvoie à une fonction, une catégorie d’individus, plutôt qu’à une ethnie ou un peuple.
• Vice-Président⋅e : Gautier ''Biscotte'' POURSIN (1A) – Dans le Codex Cumanicus, dictionnaire trilingue couman (langue turque), persan et latin, mais aussi glossaire et index thématique servant à décrire les peuples en contact avec les Coumans de l’époque, les CosaquesIIE (sous la forme « quzzaq ») y sont mentionnés comme étant des sentinelles, des gardiens ayant pour fonction de défendre la steppe des ennemis tatars.
• Trésorier⋅ère : Imane ''Em'' EL MOUL (2A) – Côté étymologique, le terme slave « cosaque » (kozak en ukrainien et en polonais, kazak en russe) est probablement un dérivé du turco-mongol qazaq, un vocable qui se retrouve dans de nombreuses langues de même souche et qui signifie « homme libre », ou « sans attache », par extension vagabond ou aventurier.
• Vice-Trésorier⋅ère : Etienne ''Stopman'' GAUCHER (1A) – Le lien avec le soldat ou le garde indépendant décrit dans le Codex Cumanicus est donc des plus logiques puisque le mercenaire est un homme travaillant pour son propre compte.
• Secrétaire Général⋅e : Bryan ''Galao'' LY (2A) – Selon Ramseier, certains chercheurs (William Erskine ou Julius von Klaproth), attribuent une origine arabe au mot « qazaq », qui serait passé en Asie centrale et en Russie après avoir franchi le Caucase, par le biais des Perses puis des Tcherkesses.

Pôle Partenariats

• Amadou Amidou ''BA'' BA (1A) – Dans cette hypothèse, le terme désigne un « homme martial vivant en nomade », un soldat des steppes, une signification très proche de la turco-mongole et une filiation entre les deux parentés reste possible.
• Géraldine ''Howly'' BAILLEUL (2A) – Ramseier note encore que le Russe Vassili Radlov (ou Wilhelm Radloff), fondateur de la turcologie, définit les CosaquesIIE comme des « hommes libres, indépendants et nomades ».

Pôle Animations

• Abla ''Atlas'' SEFRIOUI (1A) – Il n'y a pas de rapport entre les CosaquesIIE et les Kazakhs (kазах), ni les Khazars, quoique habitant les mêmes régions, mais à plusieurs siècles d'intervalle.
• Benoît ''Vendri'' GENDRE (1A) – Ces premiers CosaquesIIE, aventuriers, pirates et mercenaires, descendirent la Volga et colonisèrent les rives du fleuve russe, ainsi que, progressivement, celles du Don et du Dniepr.

Pôle Communication

• Lucas ''Lecky'' THIBORD (2A) – Ils s'installèrent dans la steppe du sud de la Russie et de l'Ukraine, au nord de la mer Noire.
• Corentin ''Cocs'' CLAVIER (2A) – Pour Iaroslav Lebedynsky, de tels hommes ont probablement toujours existé dans la steppe et l'on peut qualifier de proto-CosaquesIIE les Toques noires, à forte composante petchenègue, les Brodnici (en), mi-slaves, mi-turco-mongols, ou encore les Polovtses sauvages, des renégats coumans.

Pôle Événements et Voyages

• Damien ''Dam's'' LU (1A) – Pour Mikhail Ramseier, il faut aussi compter sur la forte composante des slaves sous la forme des Sevrioukis, des descendants de tribus slaves venues du nord et qui se mélangèrent très tôt à ces rebelles tatars.
• Youssef ''Wronskien'' KANOUNI (2A) – Preuve en est que les premiers CosaquesIIE, incontestablement Mongols au départ, se slavisèrent rapidement.

Pôle Logistique

• Respo Foyer : Christophe ''Cricri'' ROBOTA (2A) – C'est d'ailleurs en 1468 qu'apparaît près de Moscou le premier chef cosaque à nom slave : Ivan Rouno.
• Respo Associations : Andrew ''Dadou'' FARNDON (1A) – Réunis en bandes (starchines) louant leurs services aux nations limitrophes de la steppe, ces premiers CosaquesIIE se retrouvent bientôt aux côtés de Moscovites, de Lituaniens, de Polonais ou de Moldaves, intègrent des éléments des colonies italiennes de la mer Noire et même du khanat de Crimée.
• Respo Fipa : Pablo ''Willian'' GONZALEZ (2A) – On les décrit alors comme étant surtout des mercenaires, des gardes-frontières, des guides de la steppe, des protecteurs de marchands ou de diplomates, mais aussi et surtout des pillards attaquant les villages et les caravanes de rencontre.

Membres d'Honneur

• Damien ''Oryon'' BERNEAUX (4A) – Par la suite, ces bandes d'aventuriers accueillent les nombreux fugitifs des États voisins, dont certains arrivaient par familles entières pour échapper au servage, aux lourds impôts ou aux guerres.
• Mengsi ''AK'' WU (4A) – Les bandes devinrent des établissements, puis de vraies communautés, formées de parias, de pauvres, de rebelles, d'esclaves, aussi bien nordiques et slaves qu'orientaux.
• Kentigern ''Chiantos'' HARTMANN (4A) – Les premiers CosaquesIIE véritablement organisés apparaissent dans la région du Don, autour de 1520, et sur le Dniepr inférieur pour les Zaporogues, en 1550.
• Constantin ''Karn'' BÔNE (3A) – Porohy signifie « rapides », « tourbillons », en référence à la géographie du grand fleuve.
• Théotime ''Sneaky'' DONNENFELD (4A) – .
• Quentin ''Monaco'' AURY (4A) – Vers la fin du XVe, les premiers CosaquesIIE s'établissent entre les fleuves Boug et Dniepr, région sous l'autorité formelle du grand-duc de Lituanie jusqu'en 1569, du roi de Pologne ensuite.
• Simon ''Mijel'' BLANCHARD (3A) – On trouve là surtout des paysans corvéables fuyant les obligations envers les seigneurs, des pauvres des villes, des aventuriers de toutes sortes, quelquefois issus de la noblesse, et des criminels de droit commun.
• Sandy ''Denzel'' EPIARD (4A) – Pour les jeunes nobles polonais aventureux, faire le cosaque permettait d'acquérir rapidement une grande expérience militaire.

Bonne campagne ! :)

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